The Blog

Les étapes pour définir vos buyer persona

Cerner la personnalité et le profil de ses clients (Buyer persona issu à la fois d’une terminologie latine et anglaise) contribue à mettre en place une véritable stratégie de content marketing. Définir différents profils clients, imaginer les contenus pertinents pour les séduire et sélectionnez les bons médias constituent les points clés de notre atelier de co-création selon 4 étapes.

Quel est le Buyer Persona de vos clients ?

Quel est le profil de vos clients pour chacune de vos lignes produits ? 

  • Fonction, niveau d’éducation, cadre de travail…

Quels sont les centres d’intérêts de vos clients actuels et de vos prospects ?

  • Objectifs de vos clients et prospects, enjeux de votre clientèle potentielle, etc.

Quelles sont les sources d’information de vos clients et prospects ?

  • Presse spécialisée, sujets des articles, nature des contenus, parcours digital…

1. Identifiez vos 4 ou 5 profils

Cette première étape identifie les 4 ou 5 profils représentatifs de vos clients et leur donne à chacun un nom spécifique. Il faut analyser les grandes catégories de prescripteurs et d’acheteurs pour vos produits. Aidez-vous de votre propre expérience personnelle pour les identifier et les caractériser. Prenez en compte dans les critères de segmentation:

  • le secteur d’activité du profil,
  • son poste
  • ses responsabilités, etc.

Objectif : identifier 4 ou 5 profils très différents en termes de mode de fonctionnement, ayant potentiellement des centres d’intérêt et des besoins distincts par rapport à votre offre. Si vous en avez trouvé plus de 4 ou 5, essayez de réduire leur nombre en ne conservant que les profils les plus signifiants. Une fois les profils sélectionnés, donnez-leur à chacun un substantif les identifiant.

2. Établissez la personnalité de vos buyer personas

Après avoir listé vos buyer personas, imaginez leur histoire et définissez leur identité comportementale et leur parcours d’achat. Quel est leur niveau d’étude, quel a été leur expérience professionnelle, comment se sont-ils construits? Il n’est pas interdit de faire des caricatures et de définir des personnalités très marquées pour faciliter la prochaine étape de définition de leurs centres d’intérêt.

3. Définissez les centres d’intérêt et les problématiques de vos buyer personas

Une fois dans la peau de vos buyers personas, imaginez leurs centres d’intérêts et définissez leurs problématiques. Un conseil :  jouez à Jeopardy en posant les questions qu’ils se posent au quotidien par rapport à leur activité et comment souhaitent-ils la faire progresser. Prenez en compte leur objectif corporate (missions de l’entreprise dans laquelle ils exercent leur activité), mais aussi leur objectif personnel de progression ou d’évolution de carrière. Suivez les différentes phases du processus d’achat du prospect ou du client pour identifier les problématiques du profil selon chacune de ces étapes.

4. Identifiez les médias consultés par vos buyers personas

Point important : définir les médias consultés par les Buyer Personas pour s’informer et rechercher les bons partenaires. Lors d’un brainstorming, vous identifierez les points de contact avec ces cibles. N’hésitez pas à imaginer des médias de niches, par exemple, des magazines de jeux vidéos pour toucher des informaticiens, etc.

Que pensez-vous de cette approche?

Qu’est ce qu’une étude de marché et à quoi sert-elle?

C’est un travail de collecte et d’analyse d’informations. Elle a pour but d’identifier les caractéristiques d’un marché et d’en comprendre son fonctionnement. Elle peut se situer sur deux plans :

  • un plan général qui aborde les composantes d’un marché déjà existant.
  • un plan commercial pour mesurer les chances de réussite d’un nouveau produit et les potentialités de ce nouveau marché.

Pour bien comprendre l’étude de marché il est nécessaire de définir ce qu’est un marché. Il s’agit de l’environnement dans lequel va évoluer l’entreprise. C’est le lieu de rencontre entre l’offre et la demande d’un bien ou d’un service. Le marché peut être national, régional, saisonnier, concentré, diffus, ambulant… Chaque type de marché a des spécificités à bien repérer pour pouvoir réussir.

A quoi sert une étude de marché?

L’étude de marché est à la base des stratégies commerciales et marketing. L’analyse des informations collectées caractérise le marché. Elle permet aux entreprises de cerner les attentes de leurs clients actuels et futurs, notamment leurs besoins. Ainsi, son utilité est de réduire les risques d’échec en évitant de chercher à vendre un produit ou un service inutile qui ne répond pas aux besoins du marché existant.

Elle aide les entreprises à prendre les mesures nécessaires pour s’insérer à long terme dans un marché.

Cela leur permet de faire les bons choix pour le succès de leurs produits et services.

L’étude de marché collecte un maximum d’informations pour identifier les contraintes et les succès du marché.

Comment réaliser une étude de marché?

Des cabinets de conseil vont à la rencontre de clients potentiels pour les interroger ou font des questionnaires via internet afin de déterminer les comportements de consommation des clients, leur jugement global sur le produit et leurs critères de choix. Pour définir cela, ces cabinets de conseil disposent de différents types d’études :

  • les baromètres qui sont des études réalisées périodiquement pour suivre les indicateurs d’un marché.
  • Les sources du terrain : ce sont les remontées des commerciaux, du service après vente et les réclamations.
  • Le marché test : l’enregistrement des achats effectués sur le produit que le créateur souhaite vendre (pendant une période définie et sur une zone géographique délimitée).
  • L’omnibus : l’entreprise achète plusieurs questions qui lui servent à son étude dans un sondage plus global.
  • Le panel : il permet une étude de l’évolution du marché en interrogeant un même groupe de personnes régulièrement

Si vous avez des questions sur les études de marché ou aviez un projet d’étude de marché en cours, vous pouvez nous contacter afin que nous discutions de votre projet.

Découvrez ZOÉ pour des études de marché avec visualisation en temps réel des résultats sous la forme de graphiques et de courbes depuis n’importe quel appareil connecté à internet.

La loi de l’effet cumulé

La réussite d’un projet répond à une simple loi : la loi de l’effet cumulé.

Un pas après un autre et non
un saut après un autre.

Le pas ne demande pas d’effort mais le saut en demande beaucoup. C’est la raison pour laquelle beaucoup échouent, ils veulent faire des sauts et non des pas.

L’effet cumulé des pas à un extraordinaire retour sur investissement et un impact visible sur votre mental; mais les sauts consomment beaucoup votre énergie et vous fatiguez vite.

Je répète : la réussite est le résultat de l’effet cumulé.

Elle ne vient donc pas du jour au lendemain.

Ainsi, ce projet sur lequel tu procrastines depuis longtemps, je te suggère de commencer aujourd’hui, fais un pas après un autre : chaque jour engage toi sur un seul objectif de 10 à 15 min et au bout d’un certain temps, tu verras la différence et tes progrès.

Excellente journée

LinkedIn : Urgent ! Mauvaises techniques de vente à abandonner

Outil de vente incontournable, LinkedIn s’impose de plus en plus comme un réseau social de prédilection pour les commerciaux et les entreprises.

Cependant, les vendeurs et entrepreneurs ont aussi déplacé beaucoup de leurs mauvaises habitudes sur la plateforme. Nous pouvons citer l’envoi abusif d’InMails, mais ce n’est pas tout…

Cap sur 5 mauvaises habitudes de vente, à bannir immédiatement de LinkedIn !

1. Envoyer des demandes de contacts non personnalisées

Trop de vendeurs utilisent le message de demande de connexion par défaut… et à tour de bras !

Sur LinkedIn, le but n’est pas d’avoir un carnet d’adresses bien rempli, mais des contacts qualifiés, qui vous rapporteront des ventes sur le moyen et long terme.

Avant d’effectuer une demande de connexion, faites-vous connaître : abonnez-vous au blog de votre prospect, commentez ses articles ou rejoignez les groupes dont il fait partie.

Lorsque les utilisateurs font ce petit effort supplémentaire, puis font référence à un comportement commun comme terrain d’entente, les contacts sont plus susceptibles d’accepter une demande de connexion.

2. Ajouter tout le monde (et n’importe qui) dans ses contacts

Pour remplir son carnet d’adresses, le premier réflexe est d’ajouter ses amis, sa famille, ses collègues (actuels et anciens)… Franchement, tout le monde le fait. Mais est-ce une bonne idée ? Est-ce que ces personnes vont réellement vous apporter des prospects ? Vont-ils poster du contenu intéressant pour vous?

Si la réponse aux 2 dernières questions est ” non “, ne concentrez pas vos efforts à rechercher vos anciens camarades de classe.

Encore une fois, ciblez vos demandes de contact, recherchez des prospects ciblés via vos autres canaux (inscrits à votre newsletter, abonnés Twitter, lecteurs de votre blog…) et qui ont un réel intérêt pour votre activité.

3. Expédier des InMails trop promotionnels

Certains entrepreneurs n’arrêtent pas leurs méthodes de spam une fois que les prospects acceptent leurs demandes de connexion. En fait, ils utilisent LinkedIn de la même manière que l’emailing, en envoyant des emails en masse, parfois non sollicités, non personnalisés et autopromotionnels.

Évitez ce type de pratique ! N’utilisez la messagerie LinkedIn que si vous avez quelque chose d’utile, pertinent et précieux à transmettre à votre prospect.

En d’autres termes, ciblez vos demandes de connexion et votre pitch de présentation auprès d’eux. Prenez le temps de personnaliser l’information transmise par votre InMail.

4. S’adonner au spam dans les groupes de discussion

Beaucoup de commerciaux, freelances ou indépendants rejoignent les groupes de discussion pour promouvoir leurs liens. Ce comportement détruit parfois des groupes de discussion intéressants et pertinents pour votre entreprise.

Lorsqu’une conversation est truffée d’auto-promotion, les membres arrêtent de la consulter et de participer. Vous perdez l’occasion d’élargir votre cercle de prospection de manière subtile et réussie !

Soyez une ressource utile sur laquelle vos clients potentiels peuvent compter et en qui ils peuvent avoir confiance.

Pour ce faire, concentrez-vous sur l’ajout de valeur à chaque interaction : vous démontrez votre expertise tout en attirant l’attention des prospects. Ce qui facilite votre mise en relation future.

5. Créer un faux compte LinkedIn pour espionner les concurrents

Au lieu de créer leur propre profil, certains professionnels préfèrent créer un faux compte pour espionner les concurrents.

S’il est toujours utile de savoir ce que font les concurrents, LinkedIn n’est pas le meilleur endroit pour effectuer une telle veille. Surtout que vous pouvez vite être ” grillé “.

Enfin, comment voulez-vous démarcher des prospects avec un faux nom ? Ils finiront bien par connaître votre véritable identité, ce qui risque de les faire fuir.

Pour démarcher vos prospects sur LinkedIn, misez sur le côté ” social ” de la plateforme. Dialoguez d’abord avec vos contacts, en commentant leur publication, en partageant leurs articles et en rejoignant leurs groupes de discussion.

Après avoir établi ce premier lien, vous pourrez envoyer des messages un peu plus promotionnels, mais toujours personnalisés, pour tenter de transformer le prospect en client.

Vous avez besoin d’aide pour voir en temps réel vos sondages et promotions sur le terrain? Postez votre besoin sur Algoo.online  dès maintenant !

by Codeur.

Maison Connectée : Une réalité

Bardés d’appareils électroniques, les foyers « intelligents » promettent davantage de confort et de sécurité. Des atouts qui restent toutefois haut de gamme.

Un four qui envoie des SMS, une serrure qui s’ouvre avec un smartphone, un éclairage qui s’adapte à la luminosité ambiante… Bienvenue dans la maison connectée! Objet de science-fiction il y a encore une dizaine d’années, cette « e-maison » se démocratise à grande vitesse grâce aux progrès de la technologie, et notamment de l’informatique.

Selon le cabinet suédois Berg Insight, en 2020, l’Europe comptera pas moins de 45 millions de maisons connectées, soit près de quatre fois plus qu’en 2015. La maison connectée, qu’est ce que c’est? Un foyer régi par un ordinateur central, capable de répondre aux besoins, des plus simples aux plus compliqués, à travers des scénarios programmés à l’avance. Peur d’avoir oublié d’éteindre une lumière en sortant? La maison s’en charge pour vous. Envie d’un salon chauffé à votre retour de vacances? L’ordinateur met la chaudière en route avant votre arrivée.

Toutes ces possibilités composent la domotique, cette fameuse automatisation de la maison. « La domotique correspond à la convergence de tous les équipements installés dans un habitat », précise François-Xavier Jeuland, expert indépendant et président de la Fédération française de domotique. Cela concerne donc les « entrailles » de la maison, comme les luminaires, le chauffage ou les volets roulants, mais aussi tous les objets connectés susceptibles d’interagir avec la maison ou son propriétaire. Avec une mission commune: simplifier la vie du foyer.

La maison se charge des tâches déplaisantes

Désormais, une seule télécommande peut contrôler l’ensemble de l’électronique. Un boîtier unique ou, mieux, un smartphone, suffit à tout gérer à distance avec une précision redoutable: une température de chambre réglée au degré près ou une luminosité adaptée aux moments de la journée. Avec de l’imagination, les frontières du réel sont presque nulles et les scénarios programmables sur l’ordinateur central obéissent au sur-mesure. « Désormais, on veut une maison qui se charge de tout ce qu’on n’a plus envie de faire », renchérit François-Xavier Jeuland.

D’autant que la domotique s’étend à de nombreux domaines. Pratiquement tous les objets du quotidien sont concernés par cette frénésie de la connectivité, de la télévision -qui propose des contenus adaptés aux goûts de chacun- jusqu’à la brosse à dents -capable d’analyser les zones de brossage oubliées. Ces gadgets utiles facilitent la vie mais améliorent aussi la gestion du quotidien.

Les réfrigérateurs nouvelle génération sont ainsi dotés d’écrans tactiles qui informent le propriétaire de la péremption des aliments ou des ingrédients manquants pour une recette. « On peut également imaginer que le réfrigérateur d’une personne âgée envoie automatiquement un SMS d’alerte à un proche s’il n’a pas été ouvert pendant 24 heures », illustre l’expert. La maison connectée constitue donc un progrès bienvenu chez les personnes fragiles, handicapées ou vieillissantes.

Si la domotique est vecteur de confort, elle permet par ailleurs de renforcer la sécurisation des maisons. Les détecteurs de présence envoient par exemple des alertes ou affichent les images du logement sur le smartphone du propriétaire. De la même façon, il est possible de programmer les lumières afin de simuler une présence régulière dans la maison et décourager ainsi les cambrioleurs, ou encore d’ordonner la fermeture des volets roulants à la moindre tentative d’effraction. « Il y a autant de besoins que d’habitations », confirme François-Xavier Jeuland.

Pour le moment, le vrai bémol de la maison connectée reste le prix de ses équipements, largement dissuasif. Mais l’engouement chez les grandes marques d’électroménager est tel qu’ils devraient se démocratiser rapidement au cours des prochaines années. D’ores et déjà, la domotique propose des solutions adaptées aux petits budgets. Ces derniers peuvent s’équiper de systèmes de base leur permettant de centraliser les commandes de leur maison, quand les plus aisés peuvent investir dans une version ultra-automatisée, avec des appareils répondant à tous leurs désirs. Une chose est sûre, l’habitat connecté est prêt à tisser sa toile.

De confortables économies d’énergie à la clef

La maison connectée n’est pas que pratique. Elle est aussi économique et écologique. Avec un équipement abouti, les propriétaires d’un logement connecté peuvent en effet réduire jusqu’à 25 % leur facture énergétique. Un système intelligent peut éteindre les lumières ou les objets en veille pour économiser de l’électricité, mais aussi prendre les décisions optimales.

Lorsque le réveil sonne le matin, la « e-home » préférera ouvrir instantanément les volets s’il fait jour, plutôt que d’allumer la lumière. En cas de canicule, les volets se fermeront pour conserver la fraîcheur, évitant ainsi l’utilisation d’un climatiseur.

La domotique est d’autant plus intéressante que, dès 2020, la réglementation des habitats neufs sera stricte en matière d’écologie : ces derniers devront être à énergie positive, et produire donc plus d’énergie qu’ils n’en consomment. Une raison supplémentaire de passer à la maison 2.0.

Signé : l’express

Découvrez Spacehome et créez votre maison connectée en donnant de l’intelligence à votre maison.

SOCIAL MEDIA : comment gagner des followers sur Twitter ?

Twitter est l’une des plateformes les plus importantes pour le social media marketing.

Loin de n’être qu’un espace de divertissement rempli de mèmes et de blagues potaches, le réseau social joue un rôle important dans la vie des entreprises et des particuliers : et oui, gagner des followers, c’est du sérieux !

Et pour preuve : le MIT, l’une des plus prestigieuses universités américaines, s’est penché sur la question dans une étude intitulée “Penetrating a Social Network : The Follow-back Problem”. Voici un résumé de ces travaux surprenants.

Résoudre le problème du “follow-back”

L’objectif de l’étude est, en résumé, de déterminer le moyen le plus efficace pour “pénétrer un réseau social”, c’est-à-dire “créer un maximum de connexions sur le réseau” (en l’occurrence Twitter).

Ce que les auteurs nomment “follow-back” est la capacité d’un utilisateur de Twitter à convaincre un autre utilisateur de le suivre (et donc de devenir son follower).

Dans cette optique, les chercheurs du MIT ont donc tenté de déterminer quelles sont les techniques les plus efficace pour inciter un utilisateur à suivre un compte.

Les facteurs déterminants

L’étude a découvert 2 facteurs qui influent fortement sur les probabilités d’être suivi par quelqu’un sur Twitter.

1-) Le nombre d’abonnés et de followers de l’utilisateur ciblé

Les personnes qui ne suivent pas beaucoup d’autres comptes ont logiquement moins de chances de suivre le vôtre, comme l’atteste ce graphique :

À l’inverse, les utilisateurs abonnés à de nombreux comptent (surtout s’ils ont relativement peu de followers) ont la gâchette plus facile quand il s’agit de suivre quelqu’un.

2) Les amis en commun

“L’ami de mon ami est mon ami” ; voilà une devise que l’on pourrait appliquer à Twitter. En effet, les relations en commun ont une importance prépondérante.

Admettons que vous souhaitiez être suivi sur Twitter par un dénommé Mr X :

  • Mr X suit le compte de Mme Y ;
  • Mme Y s’abonne à votre compte ;
  • Alors les chances que Mr X devienne votre follower augmentent considérablement.

Les interactions les plus efficaces pour gagner des followers

L’étude s’est également intéressée aux interactions qui favorisent le plus le “follow-back”. Trois types d’actions ont ainsi été étudiées :

  • Le retweet ;
  • La réponse à un tweet ;
  • L’abonnement (le fait de suivre un compte).

Les résultats sont sans appel : la combinaison du retweet et de l’abonnement est l’interaction la plus efficace pour obtenir des “follow-back”, avec un taux de conversion de plus de 25 %.

Le simple fait de suivre un utilisateur est également une interaction efficace pour obtenir des abonnés, avec un taux de conversion proche des 15 %.

Répondre à un tweet et suivre l’utilisateur dans la foulée est aussi une technique assez performante.

En résumé

Au vu des résultats de l’étude, la tactique la plus efficace pour gagner un maximum de followers sur Twitter est la suivante :

  • Ciblez des utilisateurs ayant beaucoup d’abonnements (et proportionnellement moins d’abonnés) et ayant des “amis” en commun avec vous ;
  • Retweetez leurs publications et suivez-les dans la foulée.

Ainsi, vous pourrez espérer voir votre nombre d’abonnés monter en flèche et ainsi booster votre marketing sur Twitter.

Signé Codeur.